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Monrak Transistor

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les avis de Cinemasie

5 critiques: 3.45/5

vos avis

14 critiques: 3.8/5

visiteurnote
Shaolin 5
Izzy 4.5
Bamboo 4.5
Bastian Meiresonne 4.25
Samehada 4
Manolo 4
hkyume 4
punkfloyd 4
chronofixer 4
JoHell 3.75
Pikul 3.5
Dakysto 3.5
Chip E 2.25
Simon VD 2


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Une belle histoire, un film qui transporte...

Pour ceux qui aiment le cinema qui touche, à l'instar de "Happy Times" ou "the Road Home". Il s'agit d'une histoire d'amour, des séparations et de la route tortueuse suivie par l'homme et la femme. On se demande quand s'arrêteront les soucis de l'un, tandis que la peine de l'autre nous touche dans son universalité. A voir à deux ou seul, ce film vous laissera un sourire de bonheur quand s'affichera "The end"...

13 novembre 2003
par Shaolin


Les larmes du soldat noir

Magnifique comédie romantique, démarrant sur des chapeaux de roues et continuant sur les voies d'une intrigue que l'on ne dévinera jamais en avance. Absolument délicieuse, elle connaît parfois certaines longueurs, mais fait preuve d'une maîtrise au niveau du scénario et de la mise en scène rarement atteinte. L'on sait depuis (Last Life int Universe), que le réalisateur lorgne vers un cinéma plus "art et essai", mais garde toujours sa petite touche fantaisiste et postiviste dans le pire des malheurs pour faire la différence. Le propos fait rire, même dans le pire des malheurs de son héros et l'on ne peut que s'émerveiller devant tant d'inventivité. Il y aurait tant à dire, à dissèquer; laissez-vous tout simplement aller au gré des aventures de Pan et donnez-moi des nouvelles après avoir assisté à l'un des plus beaux et inventifs films thaïs de ces dernières années !!!

25 septembre 2004
par Bastian Meiresonne


RAFRAICHISSANT

monrak transistor est un bon film sans prétention mélangeant comique loufoque (assez proche de kusturica) et trame dramatique mais pas larmoyante. ca se laisse bien regarder, c'est frais et plutôt joli (belle photo un peu rétro et beaux paysages), ça manque un peu de rythme tout de même mais globalement on passe un bon moment. (petit défaut technique: les sous titres sont assez souvent illisibles: blanc sur blanc...)

07 janvier 2004
par chronofixer


Rafraichissant, le terme employé par chronofixer sonne juste

Un film qui mélange les genres, une réalisation très soignée, de bien belles images...une interprétation plutot bonne, enfin, en ce qui concerner les 2 personnages principaux, pour le personnages secondaires, ce n'est pas toujours çà...par contre, chaque personnage à la 'tête de l'emploi' ! Le film est très dépaysant, on y voit la Thailande dans l'eau, sur l'eau, en ville, en prison, dans une plantation, une fete 'foraine'...c'est visuellement varié et très soigné. Il y a des chansons, mais le film n'en abuse pas, j'ai par contre trouvé le film un peu long, alors qu'il alterne musique, péripéties du personnages principal, enfin, alors qu'il ne manque pas vraiment de rythme. Le film ne fait pas vraiment rire malgrè son côté comique/burlesque, mais il fait sourrire, le réalisateur semble avoir trouvé un bon équilibre dans tous ses ingédients (mais alors pourquoi j'ai trouvé le film un peu long ?!!!) Donc voilà, le film se laisse voir, mais je n'ai pas tout à fait accroché, c'est distrayant, soigné, mais il manque plus qu'un petit quelque chose à mon gout. En tout cas, je pense qu'il est à voir, simplement pour voir quelque chose de différent.

30 août 2005
par Dakysto


Inégal

Inégal est en effet le terme qui convient le mieux pour définir Monrak Transistor en un mot. La première partie ne se montre pas des plus palpitantes: on passe d'une introduction dans un concert de fortune avec des chansons ringardes et minables à une amorce de chronique sentimentale très niaise et académique. Le héros du film, après avoir mis enceinte sa dulcinée et s'être vu contraint de quitter cette dernière à cause du service militaire, se sent quelque peu déboussolé. Il ne peut mener à bien sa carrière de chanteur et sa chérie lui manque. C'est alors que, par une bien drôle de circonstance, il devient déserteur et se fait récupérer par un drôle de manager qui voit en lui un grand avenir de star. Mais, deux ans durant, il se contente de passer la serpillière aux pieds des autres artistes de la maison. Sa chance professionnelle semble lui sourire enfin, tandis que le soir même, après avoir « cartonné » sur la scène, sa dulcinée, qui a fait tout le voyage pour lui, réapparaît. Il lui donne rendez-vous le lendemain, prêt à rattraper le temps perdu avec elle. Hélas, l'infortune recommence. Le héros commettra un meurtre involontaire, deviendra ouvrier dans une plantation de canne à sucre, perdra son job, enfin, sera poursuivi et emprisonné pour vol de bijou. Aux fers, il se chargera de transporter des sceaux d'excréments de détenus afin de donner de l'engrais aux légumes, en tombant parfois dans le puits de @!#$.

À partir du second paragraphe de votre serviteur, Monrak Transistor s'avère alors vraiment digne d'intérêt. Le réalisateur a su – maladroitement, certes – nous embaumer de romantisme au rabais pour mieux faire dériver la barque vers le tragique, le dérangeant, par la suite. Traversé de petits éclairs « chocs », le film joue avec notre curiosité et nos nerfs car on finit par ne plus savoir sur quel pied il danse, et là réside sa force. Il faut également dire qu'après une première heure gonflante de monotonie, l'ensemble se réveille et nous gratifie de quelques séquences plutôt haletantes dont une jolie poursuite pédestre dans les rues d'une grande ville entre le héros fuyard et deux policiers. Entre temps, quelques scènes sur l'existence actuelle de son ancienne dulcinée nous sont exposées, mais avec beaucoup plus de conformisme, ce qui limite leur intérêt et nuit au rythme de la narration. L'épilogue surprend en bien: ce genre de production tournée avec trois bouts de ficelle et qu'on trouve à la pelle dans l'industrie du cinéma thaïlandais parvient à être touchant, s'il le veut. En somme, pas d'argent, mais un certain talent. De nombreuses choses à revoir, des maladresses en abondance, un ensemble, on en revient, très inégal, mais une folle envie de faire quelque chose de bien, avec rien. Et c'est déjà pas mal.

15 juin 2006
par Chip E


Pour allers plus loin après le visionnage des 2 dernier films de Ratanaruang Pen-ek, j'ai visionné Monrak Transistor. Et là c'est tous de meme la grosse déception. Au début on s'ennuie sévèrement devant ce film qui ressemble à un film thaï des plus classique et des plus inintéressant. Puis vers la moitié du film (qui est assez long) ça commence à se densifier et les personnages prennent enfin de l'ampleur, ainsi qu'une réalisation plus soigner. Mais globalement ça reste bof.

30 août 2006
par Simon VD


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